Le sexe virtuel moins dangereux que dieu

sexe religion

le sexe décomplexé est-il soluble dans le fait religieux?

C’est facile de rebondir sur le sujet mais c’est trop bon… depuis quelques jours le web bruisse d’une de ces actualités sans importance qui aiment à se propager dans le vide conceptuel de la toile mondiale: Dieu est plus dangereux que le porno! Enfin, d’un point de vu des virus informatiques traitreusement dissimulés sur les sites internets dédiés du moins.

C’est l’éditeur d’anti-virus Symantec qui le dit et pourtant ce n’est plus le 1er avril! Le risque est même quantifié: sur les sites liturgiques, il est trois fois plus élevés. La raison est pragmatique: le porno rapporte beaucoup d’argent et il convient de protéger le client pour qu’il revienne. Pour la religion, la recette (la collecte oserais-je même) est déjà rodée depuis longtemps, la preuve, même déçus, les clients reviennent toujours…

Vu la manipulation millénaire faite par les religieux autour du sexe, il est bon parfois de les voir se prendre un petit coup de boomerang de temps en temps avec une info même pas bidon (humm quoi que j’ai un vague doute tout de même, ça sent le bon buzz) alors que les religieux nous abreuvent depuis si longtemps de mensonges et de menaces autour de cette thématique si sensible, le sexe (péché, source de maux physiques et moraux, oeuvre du démon, etc.). On évitera les parallèles de mauvais goût avec la position de nombre de responsables religieux concernant l’usage des préservatifs (interdit) pour se protéger des virus… En fait non, cela me vient immédiatement à l’esprit, mais c’est beaucoup moins drôle car les morts sont loin d’être virtuels.

Et puis l’étude de Symantec dit aussi que les « échanges » de fichiers audios et vidéos sont aussi très risqués. La morale est sauve, s’adonner au vol -péché capital- fait prendre plus de risques que la consultation des textes sacrés.

Et si… Dieu était en fait une femme, qui plus est adepte de tous les plaisirs -pas que sexuels, ne soyons pas mono maniaque- quelle revanche cela serait! Cela donne envie qu’il/elle existe.